1er mai : manifestons pour la paix, les libertés, la justice sociale et contre l’extrême droite !
- Saint-Brieuc : 11h Place du Général De Gaulle (Préfecture). Cortège jusqu’au Parc des Promenades et pique-nique (buvette CGT sur place).
- Lannion : 11h parking de Caërphilly, Intervention intersyndicale puis la CATG, puis les amis de la commune. Manifestation autour des ponts Saint Anne et Kermaria
- Dinan : 10h30 Esplanade de la Résistance
- Paimpol : 10h30 Place de la République
- Guingamp : 10h30 Place du Champ au Roy
- Lamballe : 10h30 devant la Gare
Le contexte international est pesant avec des dirigeants populistes qui mènent des politiques économiques et territoriales agressives. Ces politiques appellent une réponse syndicale pour contrer leurs conséquences multiples : attaques de l’État de droit, des droits des femmes, des immigrés et des personnes LGBTQIA+ mais aussi contre l’Éducation laïque publique et les efforts nécessaires pour contrer la crise climatique et environnementale.
Le 1er mai, c’est l’occasion de rappeler que nous défendons :
- La coopération et la solidarité entre les travailleuses et les travailleurs du monde entier.
- Une paix juste et durable en Ukraine et en Palestine.
- Le respect des droits sociaux et environnementaux.
- L’arrêt de la répression syndicale, de l’emprisonnement des prisonniers et prisonnières politiques qui combattent les tyrannies.
- Le renforcement de notre démocratie face aux ingérences étrangères et aux tentatives de déstabilisation par les milliardaires.
- La protection des contre-pouvoirs comme l’indépendance de la justice, la liberté de la presse, la liberté de la recherche et les libertés publiques et syndicales en luttant, notamment, contre l’extrême droite.
- Des conditions de travail améliorées car, rappelons-le, le travail tue, notamment en France (3 personnes par jour – chiffres INSEE de 2023).
Pour cela, nous appelons à la mobilisation, dans l’unité, des travailleurs et des travailleuses et de leurs organisations contre l’économie de guerre, pour obtenir l’abrogation de la réforme des retraites et pour faire reculer le gouvernement sur la remise en cause des droits des salarié·es.