Initiée par Fabrice Nicolino, journaliste à Charlie Hebdo, le mercredi 5 septembre 2018, relayée par l’hebdomadaire, cette campagne a déjà recueilli plus de 487 000 signatures. Les signataires s’engagent, par ailleurs, à manifester devant la mairie de leur commune le 1er vendredi de chaque mois à 18h30 dans la joie, la musique et la bonne humeur.

Des groupes locaux se sont créés partout en France et relaient l’appel en donnant rendez-vous le premier vendredi de chaque mois à 18 h 30 devant les mairies ou sur les places principales des villes et villages (Saint-Brieuc, Etables sur Mer, Planguenoual, Dinan, Guingamp, Lannion…).

 

Rendez-vous : le vendredi 1er février à 18h30. Pour connaître les rassemblements les plus proches de chez vous : Cliquer ici

Il ne s’agit pas, en effet, d’une simple pétition, sitôt signée, sitôt oubliée.
C’est un mouvement qui engage.
C’est un mouvement d’ampleur qui va se déployer dans la durée autour de l’appel..
L’heure n’est plus à discuter autour des effets nocifs de tel ou tel pesticide de synthèse, nouveau ou ancien, mais à mettre chacun devant ses responsabilités.
L’heure est à s’organiser pour refuser ce qui menace massivement la fragilité du monde.
Le coquelicot est le beau symbole de cette fragilité, celle de la nature, celle des humains.

Merci de relayer au plus grand nombre cette campagne citoyenne, soutenue par ATTAC 22 et la FSU 22, pour l’interdiction de tous les pesticides de synthèse

 

Signature en ligne : https://nousvoulonsdescoquelicots.org/