Au moment où la profession vit une dégradation constante de ses conditions de travail, où le sujet de l’épuisement professionnel devient prégnant, la FSU a exigé des réponses concrètes et rapides lors du CHSCTM extraordinaire du 6 novembre, il faut agir sur les causes menant à des passages à l’acte désespéré : effectifs par classe, remplacement, formation, aide à la difficulté scolaire et à la direction d’école, moyens pour l’inclusion des élèves en situation de handicap, pour l’ASH et pour les RASED, contre la surcharge de travail, les injonctions, la lourdeur administrative, les pressions exercées sur les personnels…